jeudi 27 mars 2008
Enfin une parole sensée !!!
mardi 25 mars 2008
Guy Obino réélu maire de Vitrolles
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C’est samedi matin que le nouveau conseil municipal a été investi et qu’il a élu dans la foulée le maire et les onze adjoints.
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Quelques remarques s’imposent en ce premier jour de mandature :
1/ Le nouveau conseil est renouvelé à environ 60 % puisque vingt quatre nouveaux conseillers vont siéger pour la première fois (18 dans la majorité, six dans l’opposition)
2/ La garde rapprochée du nouveau maire est promueisr avec dix poste d’adjoints sur onze, tous issus de son dernier conseil municipal, cinq d’entre eux ayant même déjà été adjoint.
3/ L’aile gauche de l’ancienne majorité municipale a été étrillée puisque parmi les conseillers non reconduits, six d’entre eux étaient des adjoints classifiés plutôt à gauche, voire même à gauche franchement (Alain Hayot, Didier Hacquart, Christiane Souchon, Marie-Héléne Bacci, Christine Parédés et Elisabeth Renaud)
4/ Politiquement parlant, la majorité municipale se recentre avec le poste de deuxième adjoint à Marie-Thérèse Thiebaud ou le poste de onzième adjoint à l’ex UDF Henri Michel Porte.
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Maire : Guy Obino
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Les adjoints :
Premier adjoint : Jean-Claude Denjean
Deuxième adjoint : Marie-Thérèse Thiebaud
Troisième adjoint : Pascale Morbelli
Quatrième adjoint :Malik Mersali
Cinquième adjoint :Sophie Colombani-Alliotte
Sixième adjoint : Jean-Claude Mondoloni
Septième adjoint : Catherine Tran-Phung-Cau
Huitième adjoint : Philippe Gardiol
Neuvième adjoint : Dominique Taguelmint
Dixième adjoint : Claude Michel
Onzième adjoint : Henry Michel Porte
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Les conseillers municipaux
Judith Dessi
Loic Gachon
Henry Aggarat
Corinne Reboul
Alain Arezki
Jessica Scorglon
Simon Nezri
Sitti Boïna
Marcel Liccia
Dominique Youssef
Michel Renaudin
Isabelle Rovarino
Michel Piquet
Geneviève Bron
Vincent La Scala
Laila Attaf
Pascal Bianco
Odette Descloux
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L’opposition :
Christian Borelli
Rolande Guedj
Alain Cesari
Christiane Aleman
Jean-François Paulus
Marie-Odile Petrissans-Lalane
Cédric Lesser
samedi 22 mars 2008
Vitrolles : Nouveau Conseil Municipal
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Aucune surprise dans tout cela, le mode électoral ayant donné une large majorité au maire sortant/entrant avec 32 conseillers sur 39.
Un simple regret par rapport à ce conseil municipal : bien entendu, que nous soyons pas représenté.
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« Et puis, en dépassant à peine les 50%, nous aurions fait entrer moins d'élus de la majorité… »
Un petit calcul simple permet de connaître le nombre de siége dans un conseil municipal. La liste arrivé en tête au 1er ou au 2eme tour remporte d'office 50 % des siéges, soit en l'occurence 20 siéges.
Ensuite, les 19 siéges restants sont distribués au prorata des voix ce qui fait que pour Vitrolles, un siége représente 5.26 %. La différence de siége entre 50 % (au 1er tour) et 61 % au 2ème tour est donc de deux siéges.
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vendredi 21 mars 2008
Vigilance, tel sera notre maître mot
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Les élections municipales passées, que notre score ne fasse pas croire à certains donneurs de leçons que nous sommes, dans le meilleur des cas, « pliés » ou « morts et enterrés » dans le pire.
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Ces deux semaines, agitées en péripéties, nous ont rendu plus fort. C’est dans l’adversité qu’un groupe se forme et un groupe est né du 9 mars 2008, encore plus soudé et encore plus volontariste que ce qu’il était avant le premier tour.
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Pour ma part, je ne veux pas laisser les neuf cent onze électeurs qui ont voté pour notre liste sur le bord de la route. La confiance qu’ils ont mise en nous ne doit pas être déçue.
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Je ne veux pas préjuger de l’action du nouveau conseil municipal, d’autant plus qu’à cette heure, il n’a pas encore siégé, mais je veux malgré tout lui assurer que, malgré notre non représentation en son sein, nous serons des observateurs impartiaux de son action.
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Je vais donc désormais militer pour que notre équipe
- Assure une vigilance accrue et sans faille sur les dossiers municipaux.,
- Dénonce toute dérive éventuelle aussi bien de la majorité municipale que de son opposition au Conseil Municipal,
- Soit présente sur le terrain auprès des vitrollais pour écouter les doléances et se faire leur porte parole,
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Cette vigilance est un devoir pour répondre à l’attente de ceux qui ont cru en nous.
jeudi 20 mars 2008
Revenir aux fondamentaux
Jeudi 20 mars 2008 :
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Ce qui permet à un parti politique d’exister réellement, c’est la présence d’un leader, une ligne politique claire, un programme qui rassemble, et des valeurs communes
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Qu’en est-il du MoDem ?
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- Notre leader est affaibli.
- La ligne politique est incompréhensible aussi bien pour les militants que pour ceux qui le regardent de l’extérieur,
- Le programme a disparu de notre horizon ou a été oublié par beaucoup d’entre nous,
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Restent les valeurs mais rien n’indique que leur interprétation soit la même pour tous les militants,
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En terme clair, le MoDem se délite (pour ne pas dire quelque chose de plus méchant) et l’avenir chargé de nuages bien noir.
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En rugby, quand une équipe se délite, le premier réflexe de l’entraîneur est de demander à ses joueurs de « revenir aux fondamentaux », c’est à dire ancrer le jeu sur ce qui fait la force du rugby et permet de « limiter la casse », voire même de gagner : Mêlée, touche, jeu d’avant et passes courtes.
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C’est ce que nous devons faire sans aucun état d’âme : « revenir aux fondamentaux ».
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Commençons par revenir à notre plate forme politique, celle qui a permis de transformer l’UDF en MoDem, celle qui précisait dans son texte : « ni droite, ni gauche mais un parti libre ».
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Commençons par disserter sur ce que nous voulons réellement, sans aucun état d’âme, en laissant nos préjugés au vestiaire. Voulons nous un parti à la botte du PS, un parti valet de l’UMP, un parti girouette qui tourne suivant le vent ou voulons nous un parti vraiment libre qui défende nos valeurs, notre programme et qui fait fi des alliances ?
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Evitons surtout les grandes envolées et l’improvisation hâtive, désordonnée.
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Ecartons d’un revers de main les critiques destructrices contre ces « nouveaux » MoDem qui ne comprennent rien en politique.
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N’oublions pas que ces « nouveaux » MoDem, bien que novice il y a quelques mois, sont devenus de redoutables politiques et que leurs idéaux sont aussi les nôtres sans cela nous ne nous serions pas retrouvé sur ce chemin semé d’embûches.
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Ignorons les réactions indignées de ceux qui ont des crises d’acnés en entendant le mot UDF.
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N’oublions pas que ce sont ces UDF tant honnis qui ont permis à François Bayrou d’exister et qui l’ont poussé à franchir le Rubicon lors du Congrès de Lyon en 2006, sa motion d’indépendance ayant été soutenu par 90.4 % des militants … UDF.
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Ne laissons pas sur le bord du chemin ces UDF en situation d’errance car rejetés par les MoDems parce que tout simplement ils sont « UDF » et qui ne trouvent pas leurs idéaux dans l’UMP, le Nouveau Centre ou n’importe quel autre parti politique.
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N’oublions pas combien il est facile de rejoindre un autre parti mais il est bien plus difficile et bien plus courageux de rester au sein du MoDem
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J’étais UDF, je suis MoDem !
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Je revendique mon origine et je la revendique bien fort. Ceux de ma section qui nous ont trahi ces derniers jours au nom de je ne sais quelle « réalité politique » ne sont pas les anciens UDF tant décriés mais bel et bien certains nouveaux MoDem. Je connaissais le goût des trahisons (A l’UDF, ces derniers temps, on commençait à s’y habituer) mais cette fois-ci la blessure a été à la hauteur de ma déception. Jamais je n’aurais pensé cela possible de la part de ces MoDem qui justement reprochaient aux vieux UDF leurs trahisons
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Pourtant, lorsque je vois la réaction des « nouveaux » MoDem qui sont restés avec nous, « droit dans leurs bottes », défendant avec opiniâtreté la notion d’indépendance, de ni droite ni gauche, au nom des valeurs qui nous rassemblent, je crois de nouveau en ce MoDem mais un MoDem débarrassé des scories de l’enfance, un MoDem qui a retrouvé ses valeurs initiales, son programme fédérateur et un MoDem qui est conduit par un leader qui ne suit pas le dernier de ses conseillers qui a parlé.
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Les décisions finales sont prises par l’entraîneur principal et non par les adjoints aux lignes arrière ou à la mêlée.
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Rester soi-même, rester indépendant et défendre un programme et des valeurs, voici nos fondamentaux.
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Les retrouver (ou les trouver) doit être notre tache première.
mardi 11 mars 2008
Position officielle du MoDem Vitrolles
Malgré les manœuvres politiciennes, malgré l’alliance bien visible entre le candidat PS et celui de l’UMP, malgré les exactions dont nous avons été les victimes, neuf cent onze vitrollais se sont réunis autour de notre projet pour porter l’idée du changement sur Vitrolles, neuf cent onze vitrollais qui ont osé le choix du changement. Nous les remercions chaleureusement.
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Nous allons continuer à défendre nos valeurs d’indépendance et nous ne ferons aucune alliance avec des candidats qui pensent à leurs propres intérêts avant de penser aux intérêts des vitrollais.
Nous ne sommes pas non plus les dépositaires des voix de nos électeurs qui ont voté pour nous comme nous ne pouvons trahir leur confiance.
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William Carrulla
Tête de liste de « Vitrolles de toutes nos forces »
vendredi 7 mars 2008
Attentat dans une ville apaisée ...
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Donc, dans cette campagne éthique, nous déplorons successivement :
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5 mars 2008 : Le véhicule personnel de William Carrulla est bombardé à la peinture jaune
6 mars 2008 : Notre local de campagne, pourtant situé au quatrième étage, est tagué à la peinture jaune (120 impacts constatés par la Police Nationale)
7 mars 2008 : Notre véhicule de campagne a le pare-brise cassé à coup de masse
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C’est probablement cela que Monsieur Borrelli appelle une campagne « bling bling »
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C’est cela la démocratie pour certains vitrollais. On se croirait revenus quelques années en arrière au temps des campagnes haineuses !!!
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Mais cela n’a plus court. N’est ce pas Messieurs ?? vous vous êtes engagés à respecter vos concurrents, voire à condamner ce type d’action …
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Nous serons donc heureux de constater qu’au nom de la démocratie, vous nous soutiendrez en dénonçant cette pratique. Encore merci !
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Question subsidiaire : Faisons-nous tant peur que cela pour que nos concurrents utilisent de tels arguments pour tenter de nous faire taire ?
jeudi 6 mars 2008
Quand le MoDem fait peur !
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Ferions nous peur au PS/UMP qui veulent se partager la ville ?
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Sur un autre sujet, plus léger, William a certe un bon appétit mais de là à être dôté du don d'ubiquité et manger en deux lieux à la fois, à la même heure, une fois avec Guy Obino et une fois avec Christian Borrelli ...
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